Notez bien qu’il s’agit de l’examen destiné à pratiquer les drones à titre professionnel – pas de la formation pour l’usage de loisir. Cet examen vise à remplacer l’ancien « théorique ULM », peu adapté à l’univers des drones.
Pour les pilotes en activité ?
A ce que l’on savait déjà, une précision a été apportée par le Ministère de la Transition écologique et solidaire :
« les télépilotes qui sont titulaires d’un certificat théorique ou d’une licence de pilote d’aéronefs habités ou d’un titre militaire ou d’une autorisation spécifique et qui sont en activité chez un exploitant déclaré à la DGAC seront dispensés de réussir le nouvel examen, mais devront demander une attestation d’aptitude aux fonctions de télépilote ».
Ce qu’il faut en retenir ? L’examen sera par conséquent nécessaire pour les pilotes qui ne sont pas en activité, même s’ils disposent de leur « théorique ULM » ou mieux.